1. Choisir le bon film Monomère pour opérations courtes sur surfaces planes, polymère pour durées moyennes et légers galbes, coulé pour longue durée et volumes complexes (véhicules). En vitrophanie, impression en miroir avec blanc de soutien pour lecture extérieure. Alternatives utiles selon l’usage : dépoli pour confidentialité, micro-perforé pour voir de l’intérieur, repositionnable pour promotions saisonnières, colles haute adhérence sur murs difficiles. Lamination mate anti-reflet ou brillante selon l’éclairage.
2. Formats & distance de lecture Vitrines larges et façades : visuels XL > 2 m² pour capter à distance en environnement urbain. Entrées et portes vitrées : modules de 30–60 cm, textes concis et pictogrammes clairs. Véhicules et surfaces courbes : éléments segmentés par panneaux, logos lisibles à 20–30 m. Sur-mesure : découpe à la forme, lettrage et combinaisons texte/QR pour faciliter l’action.
3. Fichiers : découpe, blanc et couleurs Travailler à l’échelle finale avec images nettes (150–300 dpi selon recul), couleurs en CMJN, fonds perdus 3 mm et marges de sécurité. Prévoir une couche de coupe vectorielle dédiée et un calque de blanc de soutien pour vitrophanie ou supports transparents. Aplatir les transparences, vérifier les surimpressions et éviter les cheveux typographiques trop fins sur micro-perforé.
4. Pose & durabilité Préparer les surfaces : dépoussiérage, dégraissage isopropylique, vérification des peintures récentes. Pose à sec ou humide selon film, températures de mise en œuvre recommandées, marouflage progressif pour limiter bulles et silvering. Lamination conseillée en extérieur et sur zones à fort nettoyage. Sur vinyles coulés, post-chauffe sur galbes pour stabiliser la mémoire de forme.